Pa oan war bont an Naoned, |
TRADUCTION. — Comme j’étais sur le pont de Nantes, — Gai ! Landemoa libéré (bis) — [Je vis] une bergère pleurant, — Un deux trois, délira ! — [Je vis] une bergère pleurant, — Landemoa mégaré !
N. B. — Cette chanson est aujourd’hui populaire dans toute la Basse-Bretagne. Je l’ai entendue interpréter à Pontrieux, lors du Congrès de l’Union Régionaliste, par un chanteur Léonard Carof, cultivateur à Morlaix. M. Bourgault-Ducoudray (Chants populaires de la Basse-Bretagne) en a recueilli une version presque identique à Locmaria, près Quimper (Basse-Cornouaille).
Margodig ar C’helennek a lavare d’he zad : |
TRADUCTION. — Margot le Quelennec disait à son père : — « Je n’irai pas à la messe, puisque je n’ai pas d’effets. »
Chanté par Marie-Cinthe Toulouzan, Port-Blanc.