Mont d’an endalc’had

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COLLOQUE
sieur ; car je vois que vous suivrez en peu mon exemple.
Je l’espère, monsieur : mademoiselle votre maîtresse a bien du mérite.
Monsieur, je suis le plus heureux homme du monde d’avoir l’avantage de l’épouser.
Monsieur, je vous souhaite à tous deux toutes les prospérités ima-ginables.
Monsieur, vous nous obligez infiniment.
Comme je vois, vous allez chez elle.
Il est vrai, monsieur.
Adieu, jusqu’à l’honneur de vous revoir.



XII. DIALOGUE
Entre deux jeunes Demoiselles.

Le dîner est-il prêt ?
Non, il ne l’est pas encore.
Quand sera-il prêt ?
Il sera prêt dans une heure.
Qu’avons nous à dîner ?
Nous avons un dindon et quelques autres choses.
A-t-on mis le couvert ?
Pas encore.
Avons-nous de la compagnie ?
trou ; rac guelet a ran ec’h heuliot souden ma skouër.
Me sper-se, autrou : mamezel ho tousic en deveus cals a dellit.
Autrou, me so an eürussa den demeus ar bed, ra gaout an gounid d'he eureuji.
Autrou, me a c’hoant deoc’h ho taou oll eurusded a helleur da gridi.

Autrou, eun tra dudius bras a rit d’in.

Var a velan ez it d’he zi.
Guir eo, autrou.
Adieu, quenavezo an enor d’ho quelet.



XII. DIALOG
Etre diou Demezel iaouanc.

Ha prest eo lein ?
Nan, ne d’ê quet c’hoas.
P’eur ê vezo-en prest ?
Prest vezo aben un eur amâ.
Petra hon eus-ni da leina ?
Un dindons hon eus hac un dra-bennac all.
Ha lequeet ê an daol ?
Ne quet c’hoas.
Compagnunez hon eus-ni ?