Mont d’an endalc’had

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FRANÇAIS ET BRETON.
lui procurerait une femme infiniment accomplie, il branlait de la tête, et ne lui répondait rien ; mais pressé de lui répondre, il lui dit qu’il était trop jeune.

Mais quand il fut plus avancé en âge, que disait-il ?
Il disait qu’il était trop vieux.
Il était donc bien difficile en matière de mariage.
Et que disait-il pour ses raisons ?
Voici son raisonnement : Si j'épousais une femme bien riche, elle voudrait être la maîtresse ; si je me mariais à une laide, je ne l’aimerais pas ; si elle était belle, elle se laisserait peut-être séduire.

C'était un fou, et son caprice ne m’empêchera pas de me marier : une femme est toujours soumise à son mari, quoiqu’elle soit belle et riche.
Je ne voudrais pas vous détourner de votre bon dessein ; ce que je vous en ai dit est une galanterie.
Je le sais bien, mon-
curje dezan eur c’hrec meurbet dinam, e hije he ben, hcp respount netra out-hi ; mæs dre ma peukjé anezan d’he respount, e lavaras dezi ez oa re iaouanc.
Mæs pa oue mui avancet en oad, petra a lavare-ên ?
E lavare e oa re goz.
Diez bras edo 'ta en feat dimizi.

Na pe sort abegou ha lavaret-en ?
Chetu amâ he lavariou : mar demezen da ûr c’hrec pinvidic, e falfe dezi beza ar væstres ; mar demezen da unan dic’hened, n’em be quet a garantez out-hi ; ha mar bez coant, en em lezo marteze goualla.
Un disquiantet oa, hac he sotoni n’am mirô quet da zimizi ; ûr c’hrec a so bepret doujus d’he friet, daoust pe hi a vezo coant pe pinvidic.
Ne falfe quet d’in ho tistrei demeus ho râtos mat ; hac ar pez am eus lavaret deoc'h a oa evit farçat.
M’er goar erfat, au--