III Ha Georges e hourhemen foetal bean é retred |
Ne nous souvent-il plus, Bretons du pays d'Auray, — De l’année mil sept cent quatre-vingt-quinze ?
De l’année mil sept cent quatre-vingt-quinze — Quand il y eut bataille, à Auray, le jour de la Saint Pierre.
Lorsque sifflaient les balles[1] à Auray le Jour de la Saint-Pierre. — Or au centre de la place, s’élevait l’arbre de la liberté.
Au centre de la place s’élevait l’arbre de la liberté. — Voici que les deux avant-gardes se trouvent en présence ;
Les deux avant-gardes se rencontrent, — Et Georges, à la tête de sa troupe, fait entendre ce cri :
Georges, à la tête de sa troupe, fait entendre ce cri : — En avant, ô chouans, fonçons sur l’ennemi.
En avant, ô chouans, fonçons sur l’ennemi ; — Chassons cette
canaille de la ville d’Auray.
- ↑ Bolèd, en dialecte d’Auray, désigne les balles de fusil.