Adlennet eo bet ar bajenn-mañ
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JEAN-MARIE LE JEAN
Guingamp, Avril 1867. |
- ↑ Cette affirmation singulière, chère à l’amour-propre de certains Bretons, n’est nullement conforme à la réalité historique. On sait que la Bretagne ne renonça à son indépendance, que contrainte et forcée. Après la défaite de Saint-Aubin-du-Cormier, « en 1488, — dit très justement un de nos historiens nationaux, — la Bretagne se trouvait dans l’alternative d’une extermination complète ou de son union à la France ». (Pitre Chevaller : la Bretagne ancienne et moderne, p. 533).