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Nota-bene. Au lieu de la ritournelle : Dalondige dalonda, odalondigeda, voici quelle ritournelle employa le chanteur pour le dernier couplet:
Cette guerz nous semble être une des nombreuses versions de Lézobré ou Les Aubrays, d’ailleurs Lijon-Bre ressemble quelque peu à Les Aubrays.
Laurent Morvan est âgé de 63 ans, il apprit cette pièce en entendant chanter sa mère « Doue d’he fardono, que Dieu lui pardonne ! »
En finissant sa chanson, il nous dit : Ar re-ze oa merc’hed va zud kez = celles-là étaient des femmes, mes braves gens ! puis il se prit à rire. D’ailleurs, il ne comprend guère que l’on se donne du mal pour des chansons et se met à rire à peu près après chaque strophe. Malgré toutes les démonstrations et les raisonnements il ne voulut rien entendre, mais lorsqu’on lui parla que cette étude pouvait contribuer à rehausser la gloire de la Bretagne, il nous dit en quittant : Alors vous pouvez revenir.