Pajenn:Feiz ha Breiz 1903-1907.djvu/89

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- 75 — Ces saints Religieux qu’on exile et qu’on chasse, Qui ne savent qu’aimer, pricr et erier grâce ; Prosternés â genoux, â vos pieds, ô Seigneur! Préparent chaque jour ce Pain pour le pécheur, Pour la France qui meurt, pour nous, pour la pauvre âme Par vous seul rachetée... et que satan réelame! A Toeuvre donc, Chréticns ; et pour les sauver tous, Rendons leur la prière... et le Pain de chez nous. Comte De Coupigny. Feiz ha Breiz proposc trois prix de 25,15 et lOfrancs pour les 3 meilleures traductions bretonnes. I0RT DE M. I/ABBÉ GUIZODABJ Uauteur de Vécrit qu’on va lire est le Docteur Gnizouarn, frèrede Af. Guizouarn9 ancien curé d’Elliant. Celui dont il est question était prêtre et professcur au collùgc de Pont- Croix, et frère des deux autres.

1 Ama, Rolland Guizouarn, o teurel an higen, Oe tizct ha diskaret gant cur pikol gwagen ; E koummou Porz Kerourck var e benn e kouezas Hac euz he dal gouliet ar gwad a ziveras. Hocce piscantem scopulo Guizouarn Unda Rollandum veniens ab alto Magna dejecit, rapuitque, Uesâ Fronte, cruentum.

2 rfloc’hic egethan, var gein ar garreg seac’h bêyar vignoun, siouaz ! a c’harme leun a neac’h. ?en, pe verne d’ezho ar spount hag an tregas ? oa netra da ober e kreiz eur mor ker bras.