Adlennet eo bet ar bajenn-mañ
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FRANÇAIS ET BRETON.
C'est trop. Je vous en donnerai une. C'est trop peu. Voulez-vous prendre une livre dix sous ? En vérité, je ne saurais. Ce n’est pas assez. J'en prendrai donc un autre. Entrez dans le carrosse. Cocher, arrêtez ici. Ouvrez la portière. Avez-vous affaire ici ? Ayez un peu de patience. Mais, monsieur, le temps se passe. Ne vous mettez pas en peine, je vous contenterai. Serez-vous longtemps ? Non : je reviendrai tout à l’heure. Vous avez été bien longtemps. Je ne saurais qu’y faire. Tenez, voilà votre argent. Il me faut davantage. Vous n’aurez pas davantage. Il faut donc me contenter. Adieu, monsieur. |
Re eo. Me roï deoc’h pevar real. Re neubeut eo. C'houi eurteur quemeret c'huec’h real ? E guirionez, ne allan quet. Ne d’ê quet aoualc’h. Me guemero un all eta. Antreit er c’harros. Cocher, arretit amâ. Digorit ar stalaf. Trâ hoc’h eus-hu amâ ? Ho pezet un neubeut a habascded. Mæs, autrou, an amser a dremen. N’en em liquit quet ê poan, me ho contanto. Dale a reot-tu ? Nan : me arruo bremâ-souden. Dale bras hoc’h eus grêt. N’ouffenn petra a raën. Dalit, chetu aze hoc’h arc’hant. Ouspen ê renquan da gaout. N’ho pezo quet nétra kén. Ret ê d’in eta en em gontanti. Kenavo, autrou. |