Adlennet eo bet ar bajenn-mañ
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COLLOQUE
Envoyez en quérir une. On me demande, il faut que j’aille voir une malade. Prenez courage, je m’en vais. Je vous prie de revenir demain me voir. Je ne manquerai pas. Garde, qu’on m’aille quérir un chirurgien. Qui voulez-vous ? Le même qui m’a déjà saigné. Comment s’appelle-t-il ? Je ne sais pas, demandez-le en bas. Comment vous trouvez-vous à présent ? Je suis fort mal. Appelez quelqu’un. Ce ne sera rien, vous n’êtes pas en danger. Ne bougez pas, je me trouve mieux. XX. DIALOGUE. Seconde Visite. Vous êtes fort soigneux. Faites-vous mieux ? Oui, Dieu merci. Vous n’avez plus de fièvre. Je me trouve un peu soulagé. Avez-vous été saigné ? |
Cassit da kerc’hat unan. Va goulen a rêr, ret ê d’in mont da velet un den clan. Quemerit kaloun, me a ia. Me ho pcd da zont varc’hoas d’am guelet. Ne vanquin quet. Gardien, mont da guerc’hat d’in ûr chirurjien. Piou a fell deoc’h ? Ar memes en deus dija va goadet. Pe hano a rêr anezan ? Ne oun quet, goulennit-en d’an traon. Penaus en em gavit-hu bremâ ? Fall bras oun. Galvit ur re bennac. Quement-se ne vezo netra, ne m’oc’h quet en riscl. Ne flac’hit quet, en em gaout a ran guell. XX. DIALOG. Eil Visit. Aketus bras oc’h. Ober a rit-hu guel ? Ia, a drugare Doue. N’hoc’h eus mui a derzien. M’en em gaf un draïc diboaniet. Goadet oc’h-hu bet ? |