432 CYMRU A ARVOR.
Glide through the pines star-crowned. And she chants — her white arms oulspreading —
And she chants — and her dark eyes shine — Merlin mine forever ! —
Merlin forever mine !
La Légende, avec sa suite de fées, ne nous fait pas défaut non plus ; l'esprit romantique nous enveloppe de sa lumière rosée. Écoutez ! — Énora, dans la fleur de sa beauté , portée sur les ailes des anges vers son fiancé , le salue des accents d'un amour céleste, qui sortent d'un cœur triste et ému. Écoutez , encore ! A travers les chaudes brumes de l'été, à travers le feuillage épais ca- ressé des zéphyrs , le chant de l'heureux Vivien nous charme dans la verte Brocéliande. Elle s'agenouille près de la fontaine bordée de mousse , cachée dans la clairière retirée ; les fougères , les roses , les lis font un berceau à la noble jeune fille. Tout est silencieux, sauf le doux murmure du ruisseau, ou le battement des ailes de l'oi- seau qui cherche son nid — nul signe qu'un esprit plus éthéré vit dans le cercle enchanté. Le chêne, qui a bravé les fureurs des siècles , ombrage le sol de ses branches touffues, et les ombres de la forêt se glissent à travers les pins dont les cimes semblent couronnées d'é- toiles. Énora étend ses beaux bras ; ses yeux noirs s'illu- minent ; elle chante : « Merlin ! tu es à moi à jamais ! »
And Arthur ! whose name of wonder
Like the rainbow's glory stands Arching our British waters ,
Based on our British lands : Who rose like a star in tempest ,
And scattered the Saxon horde By the dread of his Dragon banner ,
And the force of his knightly sword : Who in Gaerlleon and Carduel ,
Unhelmed, led the minstrel's song, And nurtured his shining Chivalry
In hâte of shame and wrong.