« Lavar d’in petra eo unan? » |
TRADUCTION. — « Dis-moi ce que c’est qu’un ? » — « Un Dieu, sans plus, qui est au Ciel (bis). » — « Qu’est-ce que c’est que deux ? » — « Deux testaments ; — Un Dieu, sans plus, qui est au Ciel. » — « Qu’est—ce que c’est que trois ? » — « Les trois Personnes de la Trinité ; — Deux testaments ; — Un Dieu, sans plus, qui est au Ciel. » — « Qu’est-ce que c’est que quatre ? » — « Quatre Evangélistes ; — Les trois Personnes de la Trinité ; — Deux testaments ; — Un Dieu, sans plus, qui est au Ciel. » — « Qu’est-ce que c’est que cinq ? » — « Les cinq pains du désert ; — Quatre Evangélistes ; — Les trois Personnes de la Trinité ; — Deux testaments ; — Un Dieu, sans plus, qui est au Ciel. » — « Qu’est-ce que c’est que six ? » — « Les six pots de vin, — A Cana, en Galilee ; — Les cinq pains du désert ; — Quatre Evangélistes ; — Les trois Personnes de la Trinité ; — Deux testaments ; — Un Dieu, sans plus, qui est au Ciel. »
Chanté par Yves Menguy, Pleven.
N. B. — J’ai cru devoir donner plusieurs couplets de cette curieuse chanson, en raison des particularités de sa prosodie, où chaque “ réponse ” (de mètre inégal), se développe progressivement, par la répétition des réponses précédentes. — Même structure pour la version suivante et les deux versions de Gouspero ar Raned, dont je ne note que le premier couplet.