Pajenn:Buhez Santez Nonn.djvu/218

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les miracles.
Et il se retire.

Je vais actuellement à la maison. Je ne dois pas un denier à Henry ; mon affaire est jugée. Mais c’est à tort que j’ai juré ainsi. Je me meurs ; je ne trouve pas de repos, par la crainte et la peur que je ne sois damné. Je me meurs ; je ne peux le nier. Mes yeux sont tout troublés ; il faut que je m’arrête. J’ai fait une sottise par une grande malice et fantaisie, qui ma fait tromper Henry.

(Et il meurt subitement.)
le second advocat.

Où sont Rigoal et Alain ?

le premier advocat.

Ne vous étonnez pas, les voici.

le second advocat.

Que voulez-vous à Rigoal ?

le premier advocat.

C’est que Rigoal doit à Alain un boisseau comble de seigle pur. Il le demande sur-le-champ.

le second advocat.

Rigoal, dois-tu ? En grâce dis-le actuellement