Pajenn:Guillerm, Recueil de chants populaires bretons du pays de Cornouaille, 1905.djvu/164

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Landripen, landrapen.



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’N otrou kure ’ma braz he veg
Dont da gonjuri, landripen, landrapen,
Dont da gonjuri ar c’hezek.



Notes. — Quel est au juste le sens de cette chanson ? Voici à notre humble avis ce que nous en pensons : Il s'agit au début de la pièce d’un individu qui n’est pas précisément un modèle. Pour une raison ou pour une autre il doit en vouloir au vicaire de sa paroisse, et le voilà de chanter le vicaire comme on chanterait la peste pour la faire fuir.

Notre individu se donne le beau rôle tout du long. II parle du diable. C’est plus qu’il n’en faut pour que le