Doue ! nag a garfer ’nem gaout bugaligou,
En eur c’horf kastizet, lec’h ar galon zo glan,
Musc’hoarzik an nenv glaz ha tomder an heol splan.
C’est à cet âge-là, qu’on mesure la route,
Et l’orgueil des vains mots, semés à tous les vents,
Quand la bêtise humaine est enfin en déroute.
Dieu ! que l’on aimerait la gaîté des enfants,
Dans la vieille carcasse où le cœur reste pur,
Un rayon de soleil, avec un coin d’azur !…